Birds

Le voilà, Birds est maintenant installé. Merci à Abdeljebar, Alain, Alice, Amel, Kader, Mourad, Tong et Valentine pour les traductions qui sont au coeur du travail. Et merci à tout ceux qui sont venus fêter l'install au vernissage. Pour ceux qui l'ont raté, Birds sera au 40 Rue du Panier jusqu'à la fin janvier 2012.

Vernissage

Nous vous invitons à notre premier vernissage – pour l'oeuvre Birds, que nous avons créé avec Abdeldjebar, Alain, Alice, Amel, Kader, Mourad, Tong, Valentine et Dr Adam Dennet.
Le vernissage aura lieu le mardi 20 décembre, à 19h, Galerie Esperluette, 40 Rue du Panier.
A bientôt!

Buena vista

En attendant l'arrivée de notre première installation (prevu d'ici quelques semaines), esperluette expose "une petite mémé de Cuba" - comme dit Jocelyne notre voisine d'en face. 'Patience White (Broken)' est une image prise par myles à Trinidad, Cuba (merci Jocelyne)... Se trouve que la mémé s'adapte bien à la vie au Panier.

Signs

Les images: les lettres qu'on a choisi pour ecrire notre enseigne viennent tous de la Rue du Panier: notre foyer et notre vraie salle d'exposition. Le quartier est parsemé de belle, vielles typographies.

& now

Bienvenu au blog de notre galerie à Marseille. D'abord, il vaut mieux qu'on se presente: esperluette est un espace dedié à l’interaction culturelle et sociale. la galerie se trouve au Rue du Panier, au couer de Marseille. elle est, on croit, la plus petite galerie de marseille. elle consiste en une fenetre (grande) et un rebord (poussiereux). less is more. elle comprend aussi la rue et les gens qui y passent. ouvert par gethan&myles en octobre 2011, elle a pour but d’exposer les oeuvres de qualité dans un cadre insolite et ouvert à tous. l’esperluette - & - symbolise l’essentiel de la création: construire et s’unir; coeur, passion et engagement; l’espoir et la lutte.
Quelques excuses: en tant qu'irlandaise et anglais, le français n'est pas notre langue maternelle (comme pas mal des gens qui sont arrivés à Marseille pendant ces 2600 ans, d'ailleurs). nous ferons de notre mieux, mais si on massacre la belle langue française de temps en temps, c'est pas fait expres...